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Dans le joyeux monde des Batraciens [Finish]

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Pakkun Miura
Pakkun Miura
Frog's Way of Life

Look at that baby !
» Inscrit le : 10/07/2012
» Messages : 5
» Origine : Japonais
» Péché mignon : Les glaces à l'eau bleues
MessageSujet: Dans le joyeux monde des Batraciens [Finish]   Dans le joyeux monde des Batraciens [Finish] EmptyMar 10 Juil - 16:47


Miura Pakkun
« J'suis pas un poisson. Une grenouille. »
Nom : Miura
Prénom(s) : Pakkun
Surnom(s) : "Pako"
Âge : 18 ans
Origine : Japonais

Études/métier : Etudiant en biologie
Orientation sexuelle : Ambivalent

Groupe : Youshi
Pouvoir/particularité : Il est poissomorphe. Respirant sous l'eau grâce à des branchies positionnées derrières ses oreilles, il peut faire "pousser" des peaux entre ses doigts de mains et pieds, lui permettant de nager plus vite avec ses membres palmer. Il est aussi capable de cracher un petit jet d'eau.
« Physique & psychologie »

Look at you : Le moins que l'on puisse dire, c'est que, dans un foule, Pakkun est facilement repérable. Outre son bonnet gigantesque en forme de tête de grenouille (de dos, certains le prennent parfois pour une "tête de Toad"), il y a ses cheveux. D'un bleu vert pimpant, offert à lui-même à ses quinze ans, dans un accès de désir identitaire propre. Parce que oui, les cheveux noirs au japon, il se sentait un peu mouton au milieu des autres moutons. Alors quitte à se démarquer, autant oublier le châtain ou le blond pour choisir quelque chose d'encore plus spécial. Une teinte rappelant celles de ses yeux: vert d'eau. Il semblerait qu'il y ait eu un européen dans la famille de sa mère, ce qui expliquerait cette couleur rétinienne. Sous ces mêmes yeux, il arbore fièrement deux tatouage, un triangle sous chaque oeil, encore un cadeau à lui-même, pour ses dix-sept ans cette fois-ci (et qui aura fait hurler pour la deuxième fois sa chère mère), non pas par hasard, mais par symbolisme.
Outre cela, il est à noter que Pakkun ne possède pas un physique impressionnant. Le mètre soixante ne lui plait pas, quand bien même ce n'est pas petit pour autant. Disons, entre le moyen, et le petit, pour un garçon de son âge. Ce n'est pas faute d'avoir mangé des légumes et de la soupe pourtant. Relativement fin, car, il faut se l'avouer, bien que Pako mange de manière diversifiée, il se nourrit peu. L'expression "manger comme un oiseau" lui sied bien (même s'il sait que l'expression est fausse puisqu'un oiseau mange, en réalité, énormément). Il n'a jamais eut grand appétit, ce qui explique son apparence plus ou moins chétive et anguleuse. Oui, tout en angles, ce qui ne l'empêche pas de garder quelques traits subsistants de l'enfance, là où l'adolescence n'aura pas tout effacé. Cette enfance persistante est d'ailleurs la cause de sa pilosité quasi-inexistante. Pakkun est de ces garçons qui, à dix-huit ans, sont encore à chercher à la loupe le moindre petit poil naissant de barbe ou moustache dans le miroir de la salle de bains le matin.
Pour finir, à propos de son style vestimentaire...Nous avons abordé le "chapeau grenouille", à part ceci, il se vêtit de manière plutôt simple. Aux couleurs plutôt sombres, et, même s'il ne l'avouera pas, trouve son inspiration dans le style vestimentaire de son cousin.
Il faut bien prendre exemple quelque part pour mieux se trouver par la suite.

Deep in your mind : Peu de personnes peuvent se vanter de se trouver dans l'entourage proche de Pakkun. Et pour cause, il n'aime pas le contact social avec autrui. Cette tendance n'est pas née de nulle part, et provient de sa chère génitrice. Ah, sa mère, il est impossible de décrire sa psychologie sans en faire part tant elle est le point de départ de beaucoup de choses dans le comportement ou la manière de penser de l'adolescent. Elle l'a toujours empêché d'aller vers d'autres enfants tant elle était possessive, expliquant à son fils que ce n'était pas bien, que les autres étaient souvent de mauvaises personnes dont on pouvait se passer facilement puisque "tu m'as moi, ça te suffit n'est ce pas mon poussin?". On conditionne un enfant comme on veut, mine de rien. Ainsi, il n'a jamais cherché à se faire des amis. La famille, c'est tout différent, et il y attache une grande importance. Introverti, Pakkun aura toujours eut du mal à exprimer ce qu'il ressent ou à le montrer. S'il ne sourit pas, cela ne signifie pas qu'il est malheureux pour autant, c'est simplement sa manière d'être et il n'en souffre nullement. Peu tactile, pas vraiment fan des grandes embrassades amicales mais ne refusera pas que sa mère lui caresse maternellement les cheveux. Silencieux et calme, il est loin d'être un grand bavard, mais, si on le lance, on réalise très vite qu'il a assez de connaissances générales pour combler une conversation à lui seul, seulement, il faudra le questionner, parfois même avec insistance pour qu'il daigne s'engager dans la discussion. L'air hagard, voire, endormi, Pakkun est pourtant loin de l'être. Attentif sans qu'il ne le semble, s'il ne répond pas, ce n'est pas parce qu'il est trop perdu dans ses pensées pour vous entendre mais plutôt parce qu'il préfère ignorer les autres pour rester tranquille, quitte à avoir l'air d'un garçon mou à la réaction et perdu dans son monde. Il mémorise facilement les informations qu'il entend ou voit, ajouté à une curiosité de connaissances, ce n'est pas qu'il possède une intelligence au-dessus de la moyenne mais qu'il faut peu de choses pour lui donner envie d'apprendre et ainsi, il le fait avec plaisir et facilité. Consciencieux dans les objectifs qu'il se donne, sa mère lui aura apprit que lorsque l'on veut faire quelque chose, on les fait du mieux possible. Tandis qu'il sera laxiste sur les résultats des autres, et même, complètement désintéressé, l'adolescent se maudira d'un échec de sa part. Son souci du détail est tel que l'on pourrait apparenter cela à de la paranoïa. En revanche lorsqu'il est persuadé d'avoir bien fait, ou raison, il sera d'une incroyable mauvaise foi, sa fierté se froissant relativement vite. Tout de même, il est particulièrement rare de le voir rager réellement. Ses colères sont internes. S'il est vexé, il se refermera sur lui-même coupant court à toute conversation. Une chose qui peut faire penser à une infantile bouderie.
On croirait qu'il pourrait être un parfait petit garçon de bonne famille, et bien c'est faux. Depuis quelques années, il se sent l'âme révoltée de l'adolescent en pleine crise. Comme en témoigne sa teinture de cheveux et ses tatouages alors que l'autorité parentale y était fortement opposée. Dans son cas on peut même annoncer qu'il est carrément mal élevé. Surprenant quand on voit ses airs de sage et de se prendre subitement un doigt d'honneur devant les yeux et un "va te faire enculer" sec, froid, efficace. Oui, quoiqu'on en pense, Pakkun est vulgaire lorsqu'il s'y met. N'écoute que lui ou sa famille (et encore...). Têtu. Envieux d'expériences, il ne rechigne pas à boire lorsqu'il peut se procurer de l'alcool malgré son âge, et aimerait bien tenter la fumette. Ces attitudes de jeune rebelle auront vite fait de se faire arracher les cheveux à qui tenterait de le raisonner un tant soi peu, mais, s'il agit ainsi c'est quelque part pour se faire remarquer. Mais là encore, il n'avouera rien. Ni ce sentiment agréable d'exister, cette fureur de vivre tandis qu'il se fait houspiller par un aîné. Ni cette incroyable satisfaction ressentie lorsque sa mère le gronda sévèrement pour sa teinture de cheveux, puis ses tatouages, et enfin son attitude.
Comme quoi un "t'es qu'un con." peut être synonyme de "Je veux ton attention sur moi." dans son langage, sans qu'il n'en ait conscience lui-même. Centriste, un peu égoïste dans un sens, de manière refoulée.
L'adolescent n'apprécie pas non plus que l'on se moque de ses passions. Dans son cas, il s'agit de sa fascination pour les batraciens depuis sa plus tendre enfance, et il aura interprété ses pouvoirs comme un signe du destin: un jour, il sera une grenouille. Pourquoi cette obsession? Lui-même aurait du mal à l'expliquer.
Il y a des tendances que l'on ne saisit pas.
« Your story »

«Tu n'a pas froid mon poussin ?» disait la mère.
Sa progéniture hocha la tête en signe que non, le visage stoïque. Habitué depuis bien longtemps aux attentions étouffantes de sa génitrice, il n'y réagissait même plus. Les "comment s'est passé ta journée?","ça va mon poussin?","tu as faim?","tu as soif?","tu es fatigué?","qu'est ce que tu fais?","tu es allé voir qui?" étaient le genre de questions courantes à son quotidien, et ce, depuis sa naissance. Omniprésence maternelle, c'était presque à en oublier le père de l'adolescent. Plus effacé. Discret. Ne s'étant jamais occupé de l'éducation de son fils, non pas par choix, mais parce que sa femme l'avait décidé ainsi. Pakkun n'avait jamais entendu son père s'en plaindre. Il était le genre d'homme qui se plaisait à se laisser porter par une autorité supérieure. Soumis.

La femme avait ses idées arrêtées, et ne se privaient pas d'en "contaminer" tout son entourage. Ainsi, celle-ci n'appréciait pas particulièrement sa belle famille. Notamment sa belle-soeur qu'elle trouvait trop immature, libérée, irresponsable, et mauvais genre. C'est pour cette raison que le jeune garçon ne rencontra son cousin que par le biais de ses grand-parents. Lorsqu'il était très jeune, il s'accrochait à leur grand-mère comme un vrai pot de colle, déjà habitué à la présence régulière d'une main maternelle. Bien qu'il n'y participait pas activement, il assistait aux démonstrations informatique de son grand-père et son cousin. Cela l'impressionnait (sans doute aussi parce qu'il était, à une époque, trop jeune pour comprendre toute la complexité de la machine) mais il n'en prit pas réellement passion. C'est aussi grâce à eux qu'il découvrit les joies des jeux-vidéos, chose que sa chère mère lui interdisait formellement de toucher lorsqu'il était à la maison. Mauvaise influence sur le cerveau, qu'elle disait.

D'un autre côté, pour Madame Miura, la mauvaise influence se trouvait partout. Sur-protectrice étouffante, elle ne laissait pas son "cher petit poussin" s'approcher des autres enfants, lui répétant sans cesse qu'il n'avait pas besoin d'un grand entourage, et que cela attirait des soucis, comme il y a "beaucoup de personnes mauvaises". La femme avait tellement la main mise sur son garçon qu'au final... il assimila toute personne du sexe féminin à sa propre mère. Perturbé, il n'appréciait pas la moindre parole des demoiselles, se sentant épié par l'oeil maternel. Asocial qu'il était, s'il n'approchait pas les garçons, pour les filles, c'était pire. C'est pour cela que son carnet sentimental comporte bien peu de personnes de sexe féminin. Pas du tout même. Ce n'est qu'à l'âge de seize ans qu'il réalisa que, définitivement, il préférait les hommes. Mais, même en sachant cela, Pakkun n'aura jamais eut de vrai "petit ami". Pour l'heure, il préfère encore se taire à ce sujet, il faut dire qu'après tout, on ne lui aura pas posé la question. Il n'aborde simplement pas le sujet. Cela ne le dérange pas qu'on le pense hétéro.

A ses quatorze ans, l'adolescent eut comme un déclic. Difficile de savoir si c'est la découverte de son pouvoir qui l'aura déclenché ou, si c'est ce déclic qui aura provoqué la découverte de son pouvoir.
Ce déclic, on l'appelle aussi "crise d'adolescence".
Crise qui n'a toujours pas prit fin.

Pakkun se mit à répondre, à manquer de respect, à écouter de moins en moins l'autorité. "Mauvaise influence" disait sa mère en incriminant le cousin que l'adolescent appréciait aller voir. Comme sa mère, qu'elle pensait. Son fils restait néanmoins son petit chéri d'amour rien qu'à elle, finissant par se persuader qu'il ne s'agissait là que d'une passade.
La même année, il manqua de se noyer à la plage. Rien de bien méchant, juste sa bêtise. Nager trop loin. Tentant d'aller trop au fond. Sa cheville s'était coincée dans les algues sombres qui tapissaient le fond marin, ne lui permettant pas de remonter à la surface. Pakkun se souvient encore de cette panique qui l'avait prit. De cet engourdissement progressif, l'esprit cotonneux.
Avant de réaliser qu'il respirait sous l'eau.

C'était un signe pour lui, qui avait en amour l'espèce des batraciens. Même si, sa plus grande phobie est, et a toujours été : mourir noyé. Ironique pour un Poissonmorphe.
Ses capacités en revanche, il ne les cacha pas bien longtemps à sa famille qui cru tout d'abord à une blague, quand bien même Pakkun était loin d'avoir de l'humour. Après quelques difficultés bien normales, sa famille finit par l'accepter. Il restait Pakkun, même en voulant devenir une grenouille.

Outre cet évènement, il n'y a rien qui fut sujet à un drame ou quoique ce soit. La grande tragédie de son existence fut lorsqu'il dû disséquer une grenouille en cours de sciences. En somme, rien qui puisse provoquer un traumatisme quelconque.
Il eut l'idée de se teindre les cheveux en signe identitaire, puis, plus tard, de se faire un tatouage sous chaque oeil. Parfois, les gens prennent cela pour du maquillage. Ou alors, ne comprennent pas pourquoi ces tatouages en particulier. Deux triangles.
Mais c'est parce que le triangle est le symbole de la "femme", la "mère" (oui, elle le suit jusque sur sa peau). Sous ses yeux puisque qu'il ne voit le sexe féminin que par elle. De plus, le triangle est aussi le symbole de la direction, la détermination. Pakkun cherchant son identité, son futur "lui" adulte montre par cela son désir de se trouver.

Sa mère aura hurlé en voyant cela, avant de s'y habituer. "Une passade. Ce n'est qu'une passade." continuait-elle de se persuader.

Pakkun entra à l'institut d'Atahiba pour apprendre à contrôler ses pouvoirs. Il n'arrive toujours pas à faire disparaître ses branchies et c'est pour ça qu'il est bien heureux de porter les cheveux mi-long pour les cacher derrière ses oreilles. Le Week-End, à la demande de sa mère, il rentre toujours à la maison. Même si parfois... ne supportant plus le comportement étouffant de sa génitrice, il découche, sans prévenir. Pour revenir le lendemain, sans rien dire.

Il entame à présent des études de biologie et aspire à comprendre la nature même des mutations sur les humains.
« You and your character »
Rang personnalisé : Frog's Way of Life

Avatar : Fran / Katekyo Hitman REBORN!

Comment as-tu connu le fofo : huhu 8D

Règlement : quelle est la taille des avatars ?
Règlement : combien de mots dans les rp ?

Quelque chose à ajouter ? nop ♥

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Anonymous
Invité
Invité

Look at that baby !
MessageSujet: Re: Dans le joyeux monde des Batraciens [Finish]   Dans le joyeux monde des Batraciens [Finish] EmptyJeu 12 Juil - 10:28

Mon cousin ~ a14

Je te valide avec grand plaisir ma grenouille adorée x)
Amuse toi bien (enfin pour le moment le fofo est un peu vide ça va pas être facile mdr)!
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Dans le joyeux monde des Batraciens [Finish]

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