Nom : Hondo, oui comme cette famille extrêmement riche. Non vous ne voyez pas... Incorrigible.
Prénom(s) : Akira. Banal, commun. Ca ne me plait pas mais je fais avec.
Surnom(s) : Aki. Même si je déteste ca !
Âge : Ca fait 30 ans que j'ai vu le jour. Mais arrêtez, je reste un éternel étalon de 20 ans !
Origine : Avec un nom pareil je ne peux être que japonais...

Études/métier : Je suis chef de l'hôpital, ca vous en bouche un coin hein ! Et puis je m'occupe des jeunes de temps en temps
Orientation sexuelle : Ambi je suppose. J'aime autant être prit violemment que prendre avec fougue.

Groupe : Naiji

Pouvoir/particularité : Je peux, juste en y pensant fortement, liquéfié un objet. Mon pouvoir peut se déclencher sans que je le demande si je subis des émotions trop fortes. Colère, chagrin, joie. Il m’est déjà arrivé d’avoir un verre liquide dans les mains lorsqu’on m’a littéralement agacé. Je ne peux pas tellement vous dire si je peux ou non faire reprendre à mes objets leurs apparences normale, je n’ai encore jamais réussit.

Look at you : Comment je suis ? C’est une question si… narcissique. Je ne peux pas vraiment me décrire moi-même. On dira que je suis grand, je fais un mètre quatre-vingt-quinze, je suis plutôt mince, à peine quatre-vingt-sept kilos. J’ai des cheveux bruns qui sont un peu long mais que j’aime bien comme ça. Ils sont coiffés un peu à la « one again ». Un coup en arrière, un coup normalement et j'ai une barbichette assortie, si c'est pas la classe ca ! Mes yeux sont noisettes. Ils sont bruns clairs, quand le soleil brille on pourrait presque dire qu’ils sont dorés. Je m’habille normalement et je crois que c’est tout… Ah si, j’ai un tatouage. Le symbole d’Ouroboros sur la hanche gauche. Erreur de jeunesse malheureusement. Oh et puis après tout je n’aime pas parler de moi alors je vous laisse en charmante compagnie…

« Ta gueule Akira… »

Je vous le disais, charmante. Ceci, c’est mon meilleur ami. Si je vous dis qu’il s’appelle Tetsuo vous me croyez ? Non bien entendu. Pourtant c’est la vérité. Bref, je vous laisse avec Tetsuo qui vous parlera de moi pour les… vingt prochaines minutes diront nous.

« Tu fais chier Aki. »

Je t’aime aussi.

« Bon… Et bien puisqu’apparemment je n’ai pas le choix. Vous voulez savoir comment il est ? Il vous a dit le principal. Tss, que veux-tu que je dise de plus ?! »

A quel point je peux être laid quand je grimace ? Tu passes ton temps à relever mes tics !

« Faux. Mais c’est vrai que tu as des tics. Tu ne cesses pas de remuer le nez, surtout quand tu es gêné. Et quand tu es vexé tu le plisses. Tu as la peau mate aussi. Et ton style vestimentaire n’est pas ‘normal’. »

Il l’est pour moi !

« Oui mais non ! Tu t’habilles bizarrement. Tu mets des marcels noirs ! Des MARCELS ! Tu portes toujours des jeans aussi. Souvent noirs. Mais quand tu vas bosser là, dans ton hôpital, tu es habillé sur ton 31. Chemise, veston, pantalon de costume. La classe quoi. Je me demande pourquoi tu ne t’habilles pas tout le temps comme ça ! »

Ça craint.

« Tu as toujours une espèce de chaine autour du bout. Je ne sais pas trop ce qu’il y a au bout mais tu ne la quittes jamais. »

La bague de ma mère.

« Ah oui. Comme la montre à gousset que tu traines au fond de tes poches. C’était à ton père ? »

Non, au père de ma mère.

« Bref. C’est tout ? »

Je pense. Merci mon vieux. J’aurais peut-être besoin de toi un peu plus tard. Reste dans le coin.
Deep in your mind : « Akira est un homme un peu complexe. A première vu il a l’air peu sérieux et absolument pas travailleur. Pourtant il adore son métier et s’y donner de tout son cœur. C’est un homme qui adore les enfants aussi, il aime s’en occuper et voir un sourire poindre sur leurs lèvres. C’est plutôt étrange quand on pense qu’il n’en aura surement jamais…

Pour la façade que tout le monde vois, Akira est un homme qui à du payer pour obtenir son poste. Peut lui feront confiance sur le plan professionnel. Surtout que c’est un incorrigible vantard ! Il ne peut pas garder quelque chose pour lui. Si bien que lorsqu’il à été nommé Directeur de l’hôpital, toute sa famille était au courant avant même les employés. Alors effectivement, au bout d’un moment on a du mal à le croire. Il crie souvent au loup aussi, hurlant des heures quand il se coupe ou faisant peur à ses amis. Il m’a déjà fais croire qu’il avait eu un accident pour savoir à quel point je pouvais tenir à lui quand même ! Bien sur que j’ai eu peur, quel question !

Malgré tout, une fois qu’il commence à travaillé sérieusement, il change de visage. Son travail est une vrai passion et il y passe quasiment toutes ses journées. Et toujours de bonne humeur, vous ne pourrez pas trouver un Akira triste ou colérique. Enfin, si. Si vous cherchez vraiment à ce qu’il s’énerve il vous enverra son poing dans la figure très rapidement. Mais il faut beaucoup de temps pour l’agacer. Il ne s’énerve pas facilement. Et s’il est triste, il préfère garder ses soucis enfouis dans une « boîte noire » au fond de son cœur plutôt que d’en parler. Les choses se sont passées et il ne voit pas l’utilité de revenir dessus. C’est pareil pour tout, que ce soit les amours, la famille, le travail ou les amis. Il ne supporte pas d’embêter les autres avec ses soucis. Paradoxalement, il n’aime pas que ses amis ne lui confient pas leurs problèmes. Oui, il veut être là pour les autres mais il ne veut pas s’appuyer sur les autres. C’est assez embêtant et je sais qu’il a déjà perdu quelques personnes chères à son cœur à cause de ca. Je suis toujours resté. Comment ca pourquoi ? Ca ne vous regarde pas.

Des défauts ? Bah je vous en ai déjà donné pleins. Encore ? Soit. Akira est quelqu’un qui ne supporte pas le désordre. Autant dans sa tête, c’est un bordel monstre, autant son appartement, son bureau, ses salles de travails sont rangées à la perfection. Comme aurait dit mon père « on aurait pu faire une opération à cœur ouvert au milieu de son salon que ca n’aurait pas posé de problème au patient. » Par contre Aki aurait péter un câble. Il aime que tout soit propre. C’est de la maniaquerie pure et simple ! Ah, aussi ! Il est susceptible et dragueur au possible. Ne vous avisez pas de lui faire une remarque mal placée, il pourrait vous envoyer une pique bien plus blessante. Il ne s’énerve pas tout de suite non, mais il vous prendra en grippe. Et quand il a quelqu’un dans le collimateur, ca n’est pas tellement bon signe. Par contre si vous lui plaisez, il ne se gênera pas pour vous le faire comprendre… »

… Tetsuo… Qu’est ce que tu fais là ?

« Je parlais avec les gens là. »

Et tu leurs à dit quoi ?

« … Rien d’intéressant. »

Je suis né dans cette ville il y a trente ans. Autant vous dire que les mentalités ont bien évoluée depuis… Ca faisait déjà quarante ans que le centre Idengaku avait brulé. Petit, je m’en fichais royalement. J’étais né dans une famille assez riche de chercheur pharmaceutique. Il utilisait des hommes ou des femmes avec des systèmes immunitaires assez forts pour créer de nouveaux médicaments. Enfin, ca c’est pour mon père. Je n’ai jamais vu ma mère travailler. Il parait qu’elle était une idole dans les années 50. Ca me surprend toujours de trouver de vieux magasine ou elle apparait. Elle a arrêté sa carrière quand elle s’est mariée. Elle avait vingt cinq ans. Je suis né trois années plus tard. Apparemment, lorsqu’ils se sont mariés, mes parents s’aimaient. Oui, apparemment. Parce que je ne les ai jamais vus amoureux. Ou alors je ne m’en souviens pas. Ma mère est quelqu’un d’assez laxiste. Elle a plusieurs amants et vit constamment dans leur appartement de Tokyo. Papa est plus sévère, il tient la maison familiale d’une main de maître. J’ai toujours admiré le travail de mon père. Sauver les gens. Enfin je l’ai toujours vu comme ca. Lui faisait ca pour le profit. Depuis ce jour où je l’ai vu sauver un petit garçon, le fils de ma nourrice, dans la cour de notre maison, j’ai décidé de devenir médecin. Ce petit garçon vous le connaissez bien. Il s’appelle Tetsuo et c’est lui qui m’a un peu présenté plus haut. Et avec qui vous avez discuté ensuite… Sans moi.

Mes premières années n’ont pas été très palpitante. Une vieille servante s’occupait de moi. Elle me donnait des cours, m’éduquait. Jusqu’à mes cinq ans ou elle est décédée. Ma mère à donc engagée une autre personne. Une femme de son âge beaucoup plus douce. Elle avait un petit garçon, Tetsuo. Je me suis très vite lié d’amitié avec lui, après tout il était le seul enfant que je pouvais voir. Il avait simplement un an de moins que moi et je me souviens que j’étais très protecteur avec lui. Un jour, j’avais huit ans, on était sortit de la résidence pour jouer dans un petit parc pas loin. Des « grands » nous avaient embêtés. Enfin, ils avaient surtout chahuté Tetsu. Je l’avais défendu et j’étais rentré à la maison plein de bleu. J’étais content d’avoir pu le « sauver » mais j’avais été grondé et par sa mère et par Papa. Maman n’en avait rien à faire. « Ca fera de lui un homme » qu’elle avait dit.

Et puis on a continué à grandir ensemble, à se rapprocher. Puis sa mère s’est mariée, avec le majordome de Papa. On avait tout fait pour qu’ils se rapprochent. Le père de Tetsu s’était enfuit avant la naissance de son fils et il voulait voir sa mère heureuse. Ils sont resté à notre service et cela jusqu’à mes dix sept ans.

J’étais entré au lycée et mes résultats était parfait, j’avais des notes excellentes partout, sauf en Japonais. Je n’aime pas ma langue, je préfère l’anglais ou même le Français ! Toujours est-il que je ne dépassais pas les onze de moyenne. Ce n’est pas non plus catastrophique. Ma motivation était que moi, du haut de mes dix sept années d’existence, je savais ce que je voulais faire. Tetsuo était mon bon que moi mais je l’aidais. Lui aurais aimé écrire. Il adore ca. Alors il me donnait un coup de main en littérature et je l’aidais dans les autres matières. Je me rappelle parfaitement du jour qui a tout changer dans ma vie…

J’avais eu une note en dessous de dix en littérature. La première depuis le début de ma scolarité. J’étais énervé, triste, blessé. Surtout que j’avais révisé longuement ce contrôle. Quand j’avais montré ma note à mon père, il s’était levé et m’avait giflé. Ma patience légendaire c’était envolée et j’avais voulu prendre un cendrier pour le frapper avec. Sauf qu’en tendant la main, mes doigts ne rencontrèrent qu’une étendu humide. Je ne compris pas ce qu’il s’était passé mais mon père écarquilla les yeux. Il me renvoya dans ma chambre et fit revenir ma mère de son appartement. Quelque chose n’allait pas en moi mais je ne comprenais pas quoi. Et puis, j’ouvris internet pour en discuter avec Tetsuo. Nous vivions près l’un de l’autre mais il y a des choses que je dis plus facilement par écris. J’hésitais longuement avant de lui en parler, tellement qu’il du me tirer les vers du nez. Il me rappela notre court d’Histoire. Idengaku. Et je compris. Je n’eus pas besoin de savoir pourquoi mon père avait paru si effrayé. Je l’avais assimilé seul. Je me dégoutais. J’avais toujours tout fais pour satisfaire mon père et même ma vie était contre moi. Je savais que ma famille haïssait plus que tous la différence. Mes parents ne m’en parlèrent pas et j’appris seul à maîtriser ce don. Ils ne m’adressaient plus la parole, je mangeais à part. Comme si j’avais été un domestique. Je passais plus de temps chez Tetsuo que lui chez moi. Je me plongeais tête baissée dans les études et même lorsque j’obtins mon diplôme avec une mention très bien, je n’eus aucun retour de leur part.

Je quittais alors la maison familiale, devenu trop oppressante pour moi, et j’entrais comme chirurgien dans un hôpital. Je décidais de laisser mon passé derrière moi. Après tout qu’est ce que j’en avais à faire ? Je redeviens ce petit garçon joyeux et amusant. Je rattrapais mon adolescence.

C’est aussi à cette époque que je me rendis compte que je n’aimais pas les femmes. Dans l’hôpital, j’étais dans le service d’un homme très séduisant. Grand, des cheveux très noirs, des yeux d’un bleu éclatant. Je ne comprenais pas tellement ce qu’il m’arrivait mais lorsque j’étais prés de lui je me sentais bien. C’est lui qui m’offrit ma première fois. Il fut assez doux et j’étais conquis. Malheureusement, il était muté la semaine suivante et je ne le revis plus jamais. Depuis ce jour, je séduis homme et femme sans jamais vraiment m’attaché, préférant un coup d’un soir à une relation longue durée.

Ca fais deux ans qu’on m’a nommé directeur de l’hôpital. Pour la première fois depuis que je suis partit de chez moi, j’ai appelé mon père pour le lui annoncer. Et pour la première fois depuis près de treize ans, je l’ai entendu me féliciter. Dans le même temps je lui ai dis que j’étais gay, doté et que je n’avais pas de petit ami fixe. La pilule à l’air d’être passé. Paraitrais qu’il a souffert de mon départ. Je suis sceptique.

A côté de ca, j’encadre des jeunes au centre. Oui vous savez, ce centre qui à ouvert il y a six ans pour aider les enfants dotés à apprendre à apprivoiser leur pouvoir. Je suis à l’origine de cette idée avec quelques autres personnes. On a tout mis en œuvre pour ouvrir ce bâtiment et, régulièrement, je verse une somme assez importante pour financer les locaux et payer le personnel.

Rang personnalisé : • Le «Fameux» Chirurgien •

Avatar : Kotetsu de Tiger & Bunny

Comment as-tu connu le fofo : Top site !

Règlement : quelle est la taille des avatars ?
Règlement : combien de mots dans les rp ?
Quelque chose à ajouter ? Pourquoi 110*110 ;; 100*100 c'tellement plus simple *se pend*.