Nom : Karami (je me suis permis de changer, j'espère que ça ne pose pas de problème)
Prénom(s) : Tetsuo
Surnom(s) : Tsuo, même si je déteste que l'on m'appelle comme ça.
Âge : 29 ans
Origine : Japonaise

Études/métier : Prof... Quoi ça vous étonne ? La matière ? Littérature bien évidemment !
Orientation sexuelle : En quoi ça vous…. Bon d'accord… Ambi… Même si je préfère quand même être pris.

Groupe : Naiji

Pouvoir/particularité : Mon pouvoir ? Je le hais et je l'adore en même temps. J'ai le don de ressentir toutes les émotions, sentiments, joie et douleur des personnes qui m'entourent. Sympa hein ? Ouais, sauf que je ne sais jamais pourquoi ils ressentent ça, et c'est vraiment lourd à force. Bon, il y a quand même un côté positif, puisque grâce à ça je peux comprendre les gens beaucoup plus vite.

Look at you :Me décrire ? Puisqu'il le faut…. Je suis assez grand, enfin, je suis plutôt dans les normes dirons-nous puisque je mesure dans les un mètre quatre-vingt dix, un peu moins, ou un plus plus, qu'elle importance. Je ne suis pas vraiment gros, ce serait même plutôt le contraire en fait vu que je pèse dans les soixante-dix kilos. Je n'ai pas vraiment un corps d'athlète, malgré que je fais régulièrement du sport. Mes cheveux sont bleu et plutôt court, au cas où vous ne l'auriez pas remarquer. Mes yeux sont également bleu, un bleu assez pâle, enfin bref. Pour le reste… Tiens, et si je te laissait compléter Aki ? Hum ?

" Pourquoi je m'y attendais ?"

Parce que tu me connais.

" Mouais… Bon, très bien, tu l'auras voulu. Il n'a aucun style, met toujours la même chose et ne porte pratiquement que du bleu et du blanc. Et en plus, ça ne lui va absolument pas. "

Moi au moins je m'habille "normalement" ! Chemise, gilet, pantalon bien coupé, rien d'extraordinaire en soit mais c'est la classe.

" C'est bien ce que je dis… Il ne porte pas de bijoux mise à par un bracelet au poignet droit, de ta mère c'est ça ? "

Exact, pour mes dix huit ans.

" Aucun piercing, mais un tatouage dans la nuque et un dans le bas du dos. Le premier est un tribal et le second un serpent si je me souvient bien. "

Comment tu sais que….

Deep in your mind : " Je crois que j'ai fait le tour. Sinon, question caracère, il n'a aucune patience, ce met en colère pour un rien, et n'arrête pas de m'engueuler pour rien. "

C'est totalement faux ! Je….

" Chut, c'est moi qui parle. Il n'a absolument pas confiance en lui, malgré tout mes efforts, mais apparemment c'est peine perdue. Ce doit être l'un des hommes les plus compréhensif et gentil que je connaisse. Il sera toujours là pour vous écoutez, pour vous conseillez et finira même par s'inquiéter pour vous si il vous aime bien. C'est un bosseur, il ne rechigne jamais à la tâche même si il n'aime pas vraiment son travail. Son rêve serait plutôt d'écrire un livre. N'est ce pas Tsuo ? "

T'es vraiment obliger de dire tout ça ?

" Ah, c'est toi qui l'a voulu mon cher. Maintenant tu assumes. Continuons…. Hum… Il est impulsif, ce qui lui a souvent valu quelques ennuis. Mais il est aussi prudent, surtout en ce qui concerne les relations amoureuses. A ma connaissance, il n'en a eu qu'une. Elle a duré plus de quatre ans et c'est fini d'une manière…. Hum. Aussi, il ne l'a jamais trompé, ce que j'ai un peu de mal à comprendre d'ailleurs, le connaissant. Enfin, ce n'est pas mon problème. Lorsqu'il travaille, il est toujours sérieux et froid, s'en est limite effrayant, mais lorsqu'il ne travaille pas, son caractère change du tout au tout. Enfin, non, il reste assez sérieux, mais il est beaucoup plus ouvert et surtout toujours optimiste. Vous ne le verrez que rarement faire la gueule, mise à part quand je le charrie, bien sur…. "

Bon c'est bon t'as fini là ?

" Pas tout à fait. Tsuo adore la musique, il lui arrive d'ailleurs souvent de passer la journée avec un casque sur les oreilles. Il n'écoute pratiquement que du rock, mais il lui arrive d'écouter des styles bien différent. Il aime le basket, il est d'ailleurs assez doué pour ça je dois dire. Gourmand, il aime pratiquement tout ce qui est a base de sucre, mais ce qu'il préfère reste le chocolat. Il déteste qu'on lui manque de respect, ou bien même que l'on manque de respect à ses amis ou à sa famille. Oh, et il a la phobie des araignées ! "

Bon, et bien maintenant je pense que vous savez tout de moi…. Malheureusement. Merci beaucoup Aki….

" Mais je t'en prie mon petit Tsuo. "

Je suis né ici, dans cette ville, il y a de cela 29 ans. D'après ce que m'a dis ma mère, ça c'est passé un jour d'été, l'un des jours les plus chauds apparemment, mais on s'en fou. L'important, c'est que ma mère était toute seule lorsqu'elle m'a eu. Enfin toute seule… sans mon père quoi. Qui était-ce ? Pourquoi n'était-il pas là ? Je ne le sus jamais, et ma mère ne voulu jamais m'en parler. Parlons un peu d'elle justement. Ça n'a pas été facile pour elle de m'élever seule, surtout qu'elle n'était pas vraiment riche, et que ma très chère famille lui avait tourner le dos pour je ne sais qu'elles raisons. Cela ne m'empêcha pas d'avoir une enfance plutôt heureuse, et surtout d'être élevé comme il le fallait.

Lorsque j'atteignit l'âge de quatre ans, ma mère décrocha un travail chez l'une des familles les plus riche de la ville. Son rôle ? S'occuper du seul enfant de la famille, Akira. Il avait un an de plus que moi, et malgré notre différence de niveau social, nous nous sommes très vite lié d'amitié. Pour moi, il était plus qu'un ami, il était comme mon frère, et au plus loin que je me souvienne, j'ai toujours tout partager avec lui. Nous passions nos journées ensemble, et il m'a d'ailleurs bien souvent sorti de la merde lorsque des enfants plus grands que nous venait nous embêter. Enfin plutôt m'embêter moi.

Nous avons grandis ensemble, et alors que nous grandissions, je remarquais à quel point ma mère pouvais être seule, mais surtout à quel point elle était attirée par le majordome de la famille Hondô. Alors, avec Akira, nous avons tout fait pour les rapprocher, allant même jusqu'à inventer des plans tous plus tordus les uns que les autres afin qu'ils se retrouvent seuls. Pour qu'ils apprennent à ce connaitre, et finalement cela à marcher. Ma mère s'est marié avec lui, et ce jour là, je pense avoir été l'enfant le plus heureux au monde. Je me rappelle encore du sourire de ma mère. Elle était tellement belle, tellement heureuse, et ça n'a plus changer d'ailleurs !

Pendant les années qui suivirent, tout ce passa pour le mieux. Ma mère était la plus heureuse des femmes, et moi j'avais Akira. Nous sommes devenu complices au point de pouvoir ce comprendre en un regard, de presque deviner ce que l'autre pensait, et plus le temps passait, plus je me rendait compte que les sentiments que j'éprouvais pour Akira allaient plus loin que ça. A chaque fois que j'étais près de lui, à chaque fois que je le regardais, je me sentais étrangement bien. Comme si nous étions seuls au monde, comme si il n'y avait que lui. Lorsque nous devions nous séparer pour rejoindre nos chambres, j'avais toujours un pincement au coeur, un mal être inexplicable qui ne s'envolait que lorsque je le retrouvais le lendemain. J'étais amoureux. Je ne lui avoua jamais, ayant bien trop peur de le perdre, chose que je n'aurais tout simplement pas supporter. Alors je ne dis rien, gardant ce secret enfermé à jamais dans mon coeur. Du moment que nous nous voyons tout les jours, il n'y avait aucun soucis. N'est ce pas ?

Mes années au lycée furent assez pénible. Je détestais les études. Je détestais toutes ses matières qui me donnait plus mal à la tête qu'autre chose. Alors, forcément, mes notes n'étaient pas glorieuses, j'avais la moyenne, mais rarement plus. Akira lui, avait d'excellents résultats, mise a part en Japonais. C'est vrai qu'il a toujours eu du mal avec cette langue, même si c'est sa langue maternelle. Tout aurait pu continuer longtemps ainsi, si ce jour n'était pas arriver.

Ce jour, c'est le jour où Akira me parla ce son don, et de la réaction de ses parents. A partir de là, il changea, se plongeant entièrement dans son travail. Quant à moi, je découvrit le mien peu de temps après lui, alors que nous étions en cours. Je venais d'avoir une sale note, pour changer, et j'étais en train de recevoir un sermon de la part du prof. Je le détestait, je le détestait plus que tout, mais je me forçais à me taire, pour ne pas faire de connerie, pour ne pas être envoyer chez le directeur. Ça aurait marcher, si seulement il n'avait pas commencer à insulter ma mère. Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Je lui avais alors envoyer mon poing dans la figure, et tandis que lui était tomber à terre, j'avais ressentis un vive douleur au niveau du visage. Dans un premier temps, je n'avais rien compris, bien sur, mais lorsque j'avais commencer à ressentir tout ce que les personnes autour de moi ressentait, tout devint limpide. J'étais moi aussi atteint par ce…. truc.

Je n'en ai jamais parler à ma mère, par peur de sa réaction, ni à quiconque d'ailleurs. Non, personne mise à par Akira. Je mis du temps à lui en parler, mais lorsque ce fut fait, il l'accepta sans problème, comme si ce n'était rien. Facile a dire pour lui ! Il n'a pas a supporter les émotions des gens lui ! J'ai mis du temps à mis faire, beaucoup de temps, mais j'y suis finalement arriver. J'ai appris à le contrôler comme j'ai pu, et à présent j'arrive à me créer une sorte de "bulle" afin d'être un peu isolé. Cela demande beaucoup de concentration et d'énergie, et du coup je ne peu malheureusement pas le faire très longtemps, mais bon, c'est toujours ça. Alors, pour compenser, je suis obligé de m'isoler. Je déteste ça, mais je n'ai pas le choix, sinon je pète un plomb et je me déchaine sur des innocents.

Lorsqu'Akira quitta la maison familiale, ce fut comme un déchirement. Ce soir là, je me souviens d'avoir pleurer une bonne partie de la nuit, sans pouvoir me contrôler. Oh bien sur, j'allais le revoir, souvent même, mais ce ne serait jamais plus pareil. J'avais l'impression d'avoir perdu une partie de moi même, et je mis longtemps à m'en remettre. Suite à son départ, je décida de faire de même, prenant un appartement en ville tout en continuant mes études afin de devenir prof. Oui oui vous avez bien entendu. Ce fut pendant celles-ci que je rencontra mon premier amour, William. Il était beau, charmant, et surtout il arrivait à me faire un peu oublier Akira. Notre histoire dura quatre ans. Quatre merveilleuses années pendant lesquels je fus l'un des hommes les plus heureux et comblé de cette planète, mais malheureusement, tout à toujours une fin. Cette fin arriva lorsque je découvrit que Will me trompait, et que cela durait depuis quelques temps. Je souffris énormément de sa trahison et n'arriva jamais à lui pardonner. Ainsi, je me retrouva un temps célibataire, me replongeant dans le travail.

J'en profita pour me faire embaucher à Atahiba's University, en temps que professeur de littérature. Lorsque je l'annonça à Akira, la seule chose qu'il réussi à faire fut de me rire au nez, me disant que ce métier ne m'allait pas du tout. Et il n'avait pas tord. Je ne m'y suis jamais fait, mais bon, ça reste un travail, et je n'ai pas vraiment le choix.

Rang personnalisé : Le Doux rêveur

Avatar : Kuroko Tetsuya de Kuroko no Basket

Comment as-tu connu le fofo : Top Site

Règlement : quelle est la taille des avatars ?
Règlement : combien de mots dans les rp ?

Quelque chose à ajouter ? Petit clin d'oeil à Akira pour la description physique et mentale ^^ Si j'ai mal fait je changerais cela va de soit