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Caelum entre en scène. o/

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Caelum Subridet
Caelum Subridet
You can taste me.

Look at that baby !
» Inscrit le : 08/08/2012
» Messages : 5
» Origine : Français, allemand et japonais.
» Péché mignon : Le Milka.
MessageSujet: Caelum entre en scène. o/   Caelum entre en scène. o/ EmptyMer 8 Aoû - 23:29


Subridet Caelum
« Deep in the night, I’m looking for some… »
Nom : Subridet.
Prénom(s) : Caelum.
Surnom(s) : Caca (interdiction FORMELLE de l’appeler comme ça…). Ciel ou encore Lulu (pour les intimes… vraiment très intimes).
Âge : dix-huit ans et quelques.
Origines : il est français, allemand et… un minimum japonais.

Études : étudiant pour espérer un jour devenir professeur de français.
Orientation sexuelle : ambivalent à l’origine, il est pourtant plus soumis qu’autre chose aux yeux des autres.

Groupe : Tainai.
Pouvoir/particularité : Contrôle de la gravité.
Qui aurait cru qu’un pouvoir aussi dangereux puisse exister un jour ?
Ce garçon qui parait nonchalant par là-bas pourrait en un coup d’œil vous donner l’impression que vous pesez étonnamment plus lourd… Ou bien il vous donnera la légereté d’un papillon si vous lui êtes cher.
Il peut aussi vous empêcher de retourner sur la terre ferme si vous l’avez vexé… Bref, il ne s’en sert pas vraiment pour aider les autres.
« Physique & psychologie »

Look at me :
Petite description physique.
C’est un corps plutôt élancé que voilà. Une silhouette presque longiligne, presque car il n’a pas les bras si fins que cela ou du moins l’espère. Il mesure un mètre soixante-seize, et espère attendre le quatre-vingt avant ses vingt-cinq ans. Il pèse environ soixante trois kilos. Il possède un semblant de muscles derrière cette peau pâle rougissant au moindre baiser – et aux journées ensoleillées.
Détaillons d’abord son joli minois aux traits harmonieux : le dessus de sa tête est parsemé de cheveux oscillant entre le blanc et un argent perceptible lorsque le soleil se reflète sur sa chevelure lisse et soyeuse. Une frange lui tombe devant u œil pour contourner l’autre à l’opposée et tombent jusqu’en son cou, disciplinés. Son visage, plutôt fin et souvent boudeur : son regard ressemblerait, disait sa mère auparavant, à un iceberg où l’on aurait vidé des containers de pétales de lilas et d’améthystes. Un regard profond, peut-être mais dans lequel on peut lire le plus souvent l’ennui ou un désintérêt total. Mais bon, cela dépend de la luminosité et de votre angle de vue – et de votre talent pour l’ennuyer –, ne vous attendez pas à voir un glaçon plein de fleurs et de cailloux dans les yeux à longueur de journée. Il a l’habitude de les plisser quand on lui fait une remarque qu’il n’apprécie pas, même positive.
Ensuite, son nez droit et sévère, qui lui donne un côté plus adulte, dans un sens ; ses pommette sont hautes ; ses joues ne sont ni creuses ni pleines, ce qui camouffle légèrement sa mâchoire, lui retirant un minimum de virilité et pourtant, sans faire de son visage celui d’un enfant aux joues rebondies.
Ses lèvres sont fines, mais se plaisent à embrasser. Rosée par rapport à sa peau, mais peut-être une couleur assez fade, pour certains. Une bouche renfermant une langue plus agile que nécessaire avide de jeux… que l’on pratique en généralement à deux. Ses dents sont d’un blanc éclatant, il les entretient normalement trois fois par jours.
Son petit menton joli tient facilement entre le pouce et l’index, et sa mâchoire peu marquée reste imberbe.
Sa gorge est l’une des parties les plus sensibles de son anatomie, sa pomme d’Adams est quasiment inexistante ; son cou est souvent marqué par des suçons qu’il recouvre de maquillage pour ne pas que ses parents le remarque.
Ses épaules ne sont pas très larges, mais assez pour supporter les sanglots d’un être cher.
Ses bras sont longs et fins et sa peau y est légèrement plus transparente qu’ailleurs. Il est deux fois plus facile d’apercevoir les lignes verdâtres de ses veines. Ses poignets sont fragiles et ses mains disposent de doigts de pianiste.
Sa poitrine est lisse, vous ne trouverez qu’un doux duvet là où certains auraient eu les poils, idem dans son dos très légèrement musclé. Son ventre est plat. Ses hanches sont assez prononcées, pour un garçon, peut-être trop à son goût.
Ses jambes sont fines et galbées, il n’a pas vraiment envie de les muscler.

Style vestimentaire, tatouages et piercings.
Pour tous les jours, il aime bien porter des chemises. Des chemises de toutes tailles, de toutes couleurs, qu’elles soient à carreaux ou non, qu’elles aient des manches longues ou courtes. Bien évidemment, il possède des t-shirt, mais il y a toujours des logos (comme celui des Grammar nazis) et des choses écrites dessus (à la « Fuck me, I’m vulgar).
Comme bas, le plus souvent il met des slims noirs ou des jeans plus ou moins moulants, ou encore déchirés de-ci, de-là.
Côté sous-vêtement il ne porte d’habitude que des boxers mais qui sait…
Ces jours-là, il laisse ses deux piercings à l’arcade sourcilière en place, tandis qu’il porte comme d’habitude trois piercings sur l’oreille gauche – cachés par ses cheveux, souvent – et un autre sur la langue… et il compte s’en faire un à un endroit légèrement plus intime.
Bien sûr, il ne peut pas faire disparaître ses tatouages. Il en plusieurs, d’ailleurs. Un dans le dos, un papillon géant plein de couleurs, un autre sur le majeur, une phrase en français « Le ciel sourit. », en gros la définition de son nom, et « Sex » sur la nuque.
Quand il va à l’université, il porte bien sûr l’uniforme – s’il y en a un – et retire la majorité de ses piercings, pour ne pas recevoir les foudres des surveillants.
Quand il est chez lui et qu’il n’est pas prévu de sortir, il porte des vêtements larges qui cachent l’intégralité de son corps, et une casquette.
Pour dormir, il porte les hauts de ses amants et leurs caleçons, par habitude (je sais, on s’en fiche).

Deep in my mind :
Il est comme ça et puis c’est tout.
En le regardant, on aurait que Caelum est du genre blasé, on a l’impression en le voyant qu’il a tout vu, tout vécu, donc tout le lasse. Il peut paraître froid au premier abord, ne pas sembler intéresser par ceci ou cela, ne pas avoir l’air de vous apprécier, sachez que c’est juste car il n’a pas assez dormi ou s’ennuie.
Dans le fond, il est sympathique quand vous arrivez à le faire sortir de sa coquille de déjà-vu, si vous êtes proches, vous allez passer la majeur partie du temps à rire ensemble, vous disputer et autres.
Malgré cela, il se lie facilement aux autres, sans le vouloir. Il n’est pas vraiment rebelle et ne cherche pas les ennuis. Et même s’il ne vous aime pas, il essaiera de se lier avec vous, car même s’il n’en a pas l’air, il est sociable.
Il est narcissique quand il est seul chez lui, au point de prendre mille et une photos de lui dans des poses de plus en plus étranges.
Il est plutôt bavard, avec ses amis, une vraie pipelette.
Aussi, il n’est pas très proches des filles et femmes, mis à part sa mère. C’est bien les seules êtres avec qui il pourrait être froid, voir désagréable.
Il est pessimiste, il s’imagine toujours le pire pour tout et n’importe quoi. Par exemple, si un jour son père rentre dix minutes plus tard que prévu, il va par exemple penser qu’il est à l’hôpital ou autre.
Il est impatient, il crie sur quelqu’un s’il arrive trois minutes trop tard, ou lui fait la gueule, ah, aussi, il boude facilement, mais son pardon est facile à acheter, puisqu’il est gourmand.
Il est légèrement dépressif. La moindre erreur lui fait dire des choses comme « je suis inutile », « personne n’est aussi nul que moi sur cette terre » ou encore « je vais finir en enfer ».
Il est très indiscret, il pose toujours des questions qu’il ne faut pas et fait toujours un commentaire en trop, mais il finit toujours pas s’excuser.
Il sait garder les secrets. Il ne dévoilera jamais les pensées secrètes des autres, même s’il ne les apprécie pas. Il n’aimerait pas qu’on lui fasse.
Il a du mal à croire les autres.
Il se sent tout le temps coupable de tout et n’importe quoi.
Oh, aussi : il est vulgaire.

Il aime un peu, beaucoup, passionnément, à la folie.
Il aime un peu : le porno, les fleurs, danser, les karaokés, les compétitions, le poisson, les ramens, les concombres, les bananes, les réfrigérateurs, les pancakes, le café, le thé au lait, le lait concentré sucré, le miel, le bordel, les harems, le chocolat noir 100% cacao, les glaces au yaourt, les fists, les gosses.
Il aime beaucoup : les tartes aux fraises, les jeux vidéos, les bonbons qui colorent la langue, les verres en cristal, le gratin de chou-fleur, les frittes, les fêtes, les mecs doux, sucer, le chocolat noir 15% cacao, chanter à voix basse, baiser, les lunettes de soleil – même s’il n’en porte jamais –, se déhancher, se lécher les lèvres, se faire désirer, prendre le bus, faire du vélo, jardiner, cuisiner, jouer de la musique, faire du shopping, les rollers, faire chier, les strip-teases, boire.
Il aime passionnément : nager, le patinage artistique, les pommes, le chocolat au lait, le parfum, prendre des douches, se coiffer, manger, se prendre en photo, les bains de boue, se branler, se déguiser, faire s’envoler les personnes qu’il n’apprécie pas, courir sous la pluie, arracher les ailes des papillons, les gars amoureux de lui, se faire caresser affectueusement la tête, danser la macarena, crier des insultes, s’enfermer dans sa chambre en claquant la porte, parler comme une pimbêche, dire « je suis qu’un enfant » d’un air innocent, rouler des pelles monstrueuses.
Il aime à la folie : ses parents, ses potes, ses copains, faire l’amour, les massages, les confettis, le Milka, lire, écrire, le fantastique, les films d’animation, la Saint-Valentin, les chatouilles, les blagues ou devinettes vaseuses, les baskets montantes, les piercings et les tatouages, les bains aux pétales de roses.

Habitudes.
Il a l’habitude, quand il se lève, de boire une bouteille d’eau de cinquante centilitres, de faire son lit puis de se doucher.
Quand il fait travailler ses méninges, il mâchouille toujours ses stylos ou crayons.
Quand il est stressé, il se ronge les ongles.
Il boit tous les jours un demi-litre de lait et mange cent grammes de fruit.
Il soupire tout le temps, quoi qu’il se passe.
Il fait des bruits bizarres et inconnus quand il s’ennuie.
Il fait craquer ses doigts avant de jouer d’un instrument.
Il gribouille des scènes érotiques ente hommes dans ses cahiers quand il n’est pas attentif.
Il s’affale partout où il peut poser ses fesses.
Il dit toujours « c’est bon, je vais me pendre » et « … c’était nul, je sais ».
Quand il enlève ses chaussures puis ses chaussettes, il se regarde les orteils pendant une dizaine de minutes.
Il lit aux toilettes, dans les bains et à la piscine. Il ne dort jamais assez.
Il se dit bien dans sa tête toutes les quinze minutes.

« My story »

Prologue.
[(1906) Il y a longtemps, quand Caelum n’existait pas encore, une grande famille, la famille Subridet, résidant en France voulut passer un accord avec une famille allemande résidant au Japon. Leur fils, David, devait donc se marier avec Dorothy Rosenwald. Ils attendirent la fin de la première guerre mondiale, donc janvier 1919, au cas où pour une confirmation. Ils attendirent alors un an.

(1920) L’héritier des Subridet était maintenant âgé de dix-neuf ans et il partit au pays de sa future femme. Le mariage arrangé se déroula sans problème et peu après, ils partirent vivre dans une villa, au cœur d’une petite ville peu habitée, Atahiba, malgré son magnifique panorama. Dorothy tomba enceinte après quatre ans à apprendre à s’aimer.

(1924) Le temps passait, puis un jour, un laboratoire que le couple ignorait royalement tomba… en laissant leurs produits chimiques et autres infecter l’eau et les plantations. Malheureusement, la jeune femme consomma des aliments touchés par ces choses non identifiées. Pourtant, elle accoucha une jolie jeune fille, un métissage de trois peuples.

(1947) La seconde guerre mondiale passa pendant son enfance, elle survécut et se maria à un allemand-japonais.
« Est-ce une fille ou un garçon ? » L’homme agenouillé laissa tomber son visage sur les genoux de sa femme assise dans un fauteuil. Elle lui sourit affectueusement en caressant ses cheveux.
« Tu sais bien que c’est une surprise pour toi… »
Son ventre était déjà bien rond et au chaud se cachait un embryon de huit mois. Mais la jeune femme ne pouvait savoir qu’en elle se cachait un gêne inhumain. Un garçon. Il eut le nom de sa mère, car son mari décéda dans un accident de voiture alors qu’il rentrait d’une soirée.

(1948) Elle éleva son fils seule, avec toute sa dignité, comme ils étaient loin d’être pauvres, elle n’eut aucun problème financier.

(1975) Il trouva une jolie femme en France et lui demanda sa main. Comme il était bel homme et avait des moyens, elle ne réfléchit pas deux fois. Le genre de femmes fabuleuses, belles, intelligente, au regard perçant et à la chevelure d’un blanc peu commun.

(1993) Ils prirent beaucoup de temps pour s’aimer et penser à concevoir un enfant. Vers Mars ou Avril, la femme tomba enceinte.]


Enfance.
Il y eut quelques cris de douleur, puis un long soupir de soulagement. La jeune femme était encore en sueur et épuisée par cet accouchement qui lui avait semblé durer une éternité. Son bébé lui avait déjà été retiré pour qu’on le lave et autres étapes qu’elle aurait aimé sauter.
Elle avait demandé un accouchement naturel, sans antidouleur, pour connaitre les sensations qu’avait connues sa mère, et toute les femmes du passé jusqu’à elle.
« C’est un petit garçon, mon cœur… »
Il sourit légèrement. Donc lui aussi allait avoir cette malédiction ? Lui aussi allait-il se sentir incontrôlable… ?, se disait-il dans sa tête, tristement.
On lui rendit son enfant qu’elle cajola, embrassa jusqu’à ce qu’il sourie de sa bouche édentée.
« Regarde sa tête, il a mes cheveux… »
Le père ne disait rien, juste heureux de voir sa femme s’amuser autant de son enfant.

(1995) Le petit garçon gambadait partout dans l’appartement de luxe en plein cœur de Paris du couple, il savait déjà parfaitement parler ses trois langues ou presque. Il était plutôt potelé, vu qu’il mangeait trop de pâtisseries.
Apprentissage des règles des échecs. Trois parties remportées contre sa mère.

(1996) Premier jour à l’école primaire. La maîtresse était vraiment gentille avec les élèves, et il ne fallut même pas une journée pour se lier d’amitié avec tous ses camarades.
Les jours étaient heureux et insouciants, son niveau scolaire était étrangement supérieur à celui de ses camarades, il apprenait vite, et surtout : il savait déjà lire, écrire et compter, mieux que certain cours préparatoires et même parfois mieux que des cours élémentaires. Pourtant il ne voulut pas sauter de classe pour ne pas quitter ses amis.
Premier cours de piano. Un enfant modèle.
(1998) Premier cours de violon. Un futur prodige.

(1999) Un éveil colossal des pouvoirs au fin fond de son corps. En ce vingt-deux mai, il avait fait s’envoler son nounours fétiche. Il se rendit donc compte que ces histoires de pouvoirs n’existaient pas que dans les films. Déjà très mur pour son âge, il voulut donc perfectionner son don, comme il l’avait fait pour ses connaissances.

(2003) Ce n’était pas un jour très heureux pour le jeune garçon aujourd’hui, il avait dû faire ses adieux à tous ses amis : ses parents voulaient partir au Japon pour y vivre. Et ça, il n’y pouvait rien.
Il avait passé l’examen d’l’examen d’entrée avec une aisance remarquable. Pour lui, même un enfin de cours élémentaire aurait pu. Par contre, il ne savait pas une chose avant que l’avion ne décolle…
« Mon chéri, tu sais ta future école ? » Le ton hésitant de sa mère lui donnait déjà un mauvais pressentiment.
« Qu’a-t-elle donc ? »
Elle ferma les yeux. Pour se rassurer ? Pour avoir un peu plus de courage ? Elle rit nerveusement. Le père préféra tout dire :
« C’est une école pour garçons. »
« Euh… Est-ce que ça veut donc dire qu’il n’y aura aucune fille ? »
Petit choc. Comment pouvait-il vivre sans fille ? Il allait rater sa vie ! Il allait mourir étouffé par des mâles en chaleur qui n’auront rien pour expier leurs pensée dérisoires et malsaines à part les garçon frêles qu’ils travestiraient pour lui faire endurer mile et un supplices !
Les époux hochèrent la tête.
« Mais… Mais ! Imaginez le pire ! Imaginez que je ne trouve pas de femme pour la descendance et que… Notre arbre généalogique s’arrête par ma faute ?... »
« Si tu échoues à ce point nous ferons un autre enfant, voyons ! » La voix rieuse de sa mère ne fit que le tendre plus encore. Il se renfrogna et se retourna vers la fenêtre en soupirant.

[POV CAELUM] Adolescence.
(2007) Je suis en ce moment allongé sur mon lit, mon cœur bat la chamade. Il y a trois semaines, un de mes potes du lycée m’a avoué qu’il m’aimait. J’ai certes eu du mal à y croire, mais toute de même, pour avoir un minimum d’expérience pour une future petite-amie, j’ai accepté. On a fait des trucs de couple, ensuite. On s’était embrassés, tenus la main, dits des mots doux… Finalement, je suis tombé amoureux de lui, moi aussi.
Mais là, il vient de me demander si je voulais coucher avec lui, tranquillement, par texto. Je ne m’étais jamais demandé comment les hommes le faisaient, et puis finalement, après avoir vu des pornos gays sur mon ordinateur… j’avais légèrement changé d’avis sur la question. Comme je suis le plus petit de la relation et le moins musclé, j’allais sûrement être en-dessous, et… Je n’avais pas tellement envie de me faire prendre.
Je lui ai pourtant dit oui.

Ca y est, c’est le grand soir, ses parents ne sont pas chez lui pour lui week-end et j’ai demandé à mes parents si je pouvais aller dormir chez lui. Ils ont bien sûr accepté, comme pour tout.
A peine entrés, il me plaquait contre un mur pour m’embrasser, sauvage. J’étais surpris. Il avait donc tant envie de moi ?
Tout s’est passé très vite avant que l’on ne décide de commencer. Comparé à son baiser de tout à l’heure, il fut doux. Très doux. Trop, pour ces préliminaires. Il ne m’avait même rien demandé. Il avait pris toutes les initiatives qui m’avaient faites soupirer malgré moi.
Il n’avait pas oublié le préservatif et… son entrée se fit avec la même légèreté, la même gentillesse.
On a joui au moins six ou sept fois, tous les deux, avant d’arrêter. Nous étions quasiment morts… et je ne pouvais même plus me lever. Je m’étais donc endormi.
Le lendemain, douleur effroyable à l’intérieur. Quelle horreur !

(2009) Maintenant, je collectionne les amants. Je suis certes plus soumis que dominant, mais j’ai toujours de mignonnes petites proies à prendre dans mes bras.
Les mecs, quand ils sont beaux et quand ils en ont une belle, souvent je me les fais. Je ne peux pas supporter qu’un mec qui me plait ne me fasse pas l’amour.
A cause de cela, mes copains qui rompent après que je leur dise que je n’ai pas pu m’empêcher de coucher avec lui ou lui, me traitent de nymphomane. Je leur rétorque toujours que je ne suis pas une femme et que donc cet adjectif ne me correspond pas, mais ils s’en moquent royalement. Quelle triste vie. Être traité de femme…
J’ai réalisé que la gent féminine m’énervait. Je trouvais les jeunes filles niaises et immatures. En plus, elles n’avaient même pas le courage de perdre leur virginité, quel ennui !
Je suis au lycée. J’aime les regards aguicheurs que me lance ce mec-ci ou celui-là, je n’ai pas envie de retourner dans une école mixte, je préfère « rater ma vie ».
Sinon, je me suis fait trois tatouages et mes piercings cette année. C’est vraiment cool de grandir, de temps en temps…

(2010) Fatalité. Je commence à faire de l’asthme. Mon médecin a dit que je ne supportais plus l’air de la ville. Il fallait que j’aille ailleurs !
Mes amants, mes amis, mes copains… Encore une fois je dois les quitter. La vie s’acharne sur moi ?

(2011) J’habite dans un petit coin perdu, maintenant. J’ai changé mes habitudes, je ne peux même plus fumer ! Ici, l’air est pur, je n’ai pas de crises d’allergies… Non, je ne me mets pas à gonfler et ressembler à un hamster !
Je me suis fais d’autres copains, d’autres amants, d’autres amis. J’ai embrassé d’autres personnes, j’ai couche avec d’autres personnes, j’ai dit à mes parents que je n’aimais pas les filles, ils ont rit en disant qu’ils le savaient depuis longtemps.
J’étais soulagé qu’ils ne réagissent pas mal, qu’aurais-je fait, sinon ?
Atahiba est vraiment une ville calme…
J’ai appris à maitriser mon pouvoir.

(2012) J’ai eu mon diplôme, soit, j’entre à l’université. Je suis un peu stressé, mais tout devrait bien se passer !
« My character and me »
Rang personnalisé : You can taste me.

Avatar : Iceland de Axis Powers: Hetalia.

Comment ai-je connu le fofo : vous êtes partenaires avec Maryoku. o/

Règlement : quelle est la taille des avatars ?
Règlement : combien de mots dans les rp ?

Quelque chose à ajouter ? Rien pour le moment. :3

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MessageSujet: Re: Caelum entre en scène. o/   Caelum entre en scène. o/ EmptyVen 10 Aoû - 0:19

Hello ~

Longue histoire @_@ mais bien racontée et tout est en ordre, c'est parfait =)
Je valide donc avec grand plaisir /o/
Pense à faire te fiche de rp et tout et tout ^^

Bon jeu et amuse toi bien ^^
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Caelum Subridet
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MessageSujet: Re: Caelum entre en scène. o/   Caelum entre en scène. o/ EmptyVen 10 Aoû - 9:38

Han, ouais, j'en ai fait une longue. :3 Pour faire chier les admins ! //SBAFF//

Merci pour la validation !
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Anonymous
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MessageSujet: Re: Caelum entre en scène. o/   Caelum entre en scène. o/ EmptyVen 10 Aoû - 9:41

Je vois ça x)
De rien \o/
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MessageSujet: Re: Caelum entre en scène. o/   Caelum entre en scène. o/ Empty

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