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Usami Toshiro ~ L'Orgueil du Cuir

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Toshiro Usami
Toshiro Usami
Laisse moi te montrer combien le cuir peut être doux.

Look at that baby !
» Inscrit le : 16/08/2012
» Messages : 3
MessageSujet: Usami Toshiro ~ L'Orgueil du Cuir   Usami Toshiro ~ L'Orgueil du Cuir EmptyJeu 16 Aoû - 9:45


Usami Toshiro
« You did a bad thing, so I punish you »
Nom : Usami, ne pas confondre avec Usagi. Je ne suis pas un lapin, voyons.
Prénom(s) : Toshiro.
Surnom(s) : Toshi, Yoshi mais j'aime pas du tout ça. Usagi aussi, contrairement à ce que j'ai dis plus haut...
Âge : 26 ans.
Origine : Le Japon n'a pas encore coulé.

Études/métier : J'ai fait des études en psychologie et je suis désormais psy à l’hôpital de Atahiba,voyez-vous les mutants sont généralement assez traumatisés. D'ailleurs il n'y a bien que les mutants pour m'intéresser... et je suis connu pour mes méthodes peu orthodoxes.
Orientation sexuelle : Ambi bien que j'aime surtout dominer.

Groupe : Tainai.
Pouvoir/particularité : Je contrôle le cuir, je peux le tordre par la pensée, le restaurer, l'étendre, le rétrécir, le faire changer de forme, bref, vous sanglez à loisir.
J'ai un gant de cuir noir qui ne me quitte jamais, je m'en sert de source pour ce pouvoir que j'utilise bien souvent.
« Physique & psychologie »

Look at you :

C’est au détour d’un des longs couloirs de l’hôpital d’Atahiba que l’on est le plus susceptible de me croiser.

Je suis l’un des rares types de l’hôpital à ne pas me trimbaler en blouse blanche, sauf dans les cas extrême ou je dois aller interroger un mutant malade, mais généralement on ne m’envoie pas voir ceux-là. Je suis grand et élancé, pour mieux vous surplomber de toute ma grande taille, comprenez. Je ne suis pas le médecin à binocles ronde, mais il m’arrive d’en porter des carrées, du moins quand je me trimbale en ville parce que j’ai tendance à ne pas voir bien loin, ce qui est assez embêtant pour traverser le trottoir sans se faire renverser.

Derrière ces lunettes posées sur mon nez aquilin, deux yeux bleus qui vous regardent d’un air rieur. Ma bouche aux lèvres fines est presque toujours fendue en un large sourire pervers, ce qui peut déstabiliser quand on est en train de raconter les malheurs de sa vie à son psy. Je pose mon visage aux traits fins sur ma paume, m’appuyant pour mieux vous regarder tandis que vous me racontez tout ce qui fait de votre vie un enfer. Votre pouvoir, votre famille qui a peur de vous, et moi qui ne perd pas de mon sourire. Pourtant mon visage à quelque chose de rassurant, du moins dans les moments où je suis pris de compassion, lorsque je vous vois pleurer à chaudes larmes, parce que ce fardeau est bien trop lourd pour vous.

Alors je saisis vos poignets entre mes longs doigts, je secoue mes cheveux blonds toujours en bataille et je vous souris, mon nez touchant presque le vôtre tandis que je passe ma main sur votre visage, mes yeux bleus attendris vous dévisageant avec gentillesse.

C’est que j’ai envie de vous croquer, vous le fragile jeune mutant. Ma main descend sur votre cou tendre puis sur votre torse et je vous enlace doucement.

Laissez-moi vous réconforter.


Deep in your mind :

En tant que psychologue le mieux serait d’être mentalement stable, mais ne dit-on pas que ce sont les cordonniers les plus mal chaussés ? Pas de doute, je suis proche de ceux que je soigne : un mutant complètement fou qui devrait aller se faire soigner. Sauf que voilà, le docteur, ici, c’est moi.

Les mutants. Il n’y a qu’eux que j’accepte. Je hais les humains, tout simplement ; ce sont des êtres inférieurs, des gens pas intéressants, comme mon père. Je ne veux rien avoir à faire avec eux, même si j’en côtoie quelques-uns à l’hôpital. Je dois bien avouer, à contre cœur, qu’il m’arrive de nouer des liens d’amitiés avec les autres médecins, même si j’ai du mal à accepter ce qu’ils sont.

Un mutant, c’est tellement passionnant. Cette petite bête a toujours plein de problèmes étonnants que je qualifie d’excitants. Mes patients sont tous des mutants, sans exceptions. Je me sens proche d’eux, ils me passionnent ; en échange de mes soins j’en apprends plus sur ce que nous sommes, car voilà, j’ai une grande soif de connaissances que je ne saurais étancher. J’investigue, je traque, je note et je gribouille, je deviens fou quand quelque chose m’échappe, je jubile quand je découvre un cas. Je suis le type surexcité qui court partout dans les couloirs, celui qui bouscule tout le monde sans s’excuser, parce que voyez-vous, je n’ai pas le temps de dire pardon.

La frustration que je ressens lorsque quelque chose m’échappe est l’un des problèmes les plus embêtants chez moi. Si je me frustre, je m’énerve, et si je m’énerve, vous avez un problème. Je veux savoir, je veux comprendre, et je suis prêt à employer tous les moyens possibles, à commencer par un ligotage express grâce à mes si chères bandes de cuir. Oh, ne vous inquiétez pas, je resterais doux, toujours ; cependant je prendrais grand plaisir à vous torturer psychologiquement tandis que vous êtes ligoté à votre siège, parce qu’après tout, c’est mon domaine de compétence.

Ma grande perversion me joue aussi des tours. Avoir envie de croquer chaque jeune homme qui passe dans mon bureau à l’ambiance intime, c’est un peu embêtant, surtout quand je vais jusqu’au bout de mon idée. Le sexe au boulot, c’est normal pour moi, parce que quelque part, le boulot c’est du sexe. J’ai fait psychologue par perversion intellectuelle comme physique, mais aussi parce que mes deux frères, Takeru et Haruki, travaillent aussi ici.

Mais n’ayez crainte, venez donc dans mon bureau, je vous soignerai avec douceur et amour.

« Your story »

Step One : It begins.


Notre famille est, entre autre, une famille de médecins, docteur et autres maso qui ont fait des études bien longues et chiantes.

Mon père et ma mère sont médecins, un métier qui a su les rendre riches, avec une belle et grande maison japonaise, la classe et tout. Une baraque immense, même pour une famille de cinq personnes ; c'est dans cette maison que j'ai mes meilleurs souvenirs, les longues journées passées avec mes frères, les jeux dans le jardin, la cuisine et les bocaux de bonbons colorés, la piscine d'eau clair et nos chambres gigantesques. Hé oui, je suis né dans la richesse, je n’ai jamais manqué de rien. J’étais un enfant qui demandait beaucoup d’attention, beaucoup de cadeaux, beaucoup de câlins ; on cédait à tous mes caprices, enfin, ma mère plutôt, cédait à tous mes caprices. Du moins comme elle le pouvait, ayant un métier qui occupait beaucoup de son temps ; les premiers mois de ma vie, elle était toujours là pour s'occuper de moi. Puis elle a ressortit la blouse blanche et tout ce que je reçus d’elle, ce furent des cadeaux et des sucreries qu’elle m’apportait le soir en rentrant. Mon père, lui, a toujours été distant avec moi. Peut-être parce que je suis l’enfant de sa deuxième femme, peut-être parce que je ne suis pas le fruit des entrailles de la première, celle qui lui a donné mon grand-frère Takeru, vieux de 5 ans de plus que moi.

Takeru. Je suis né et il était déjà là, déjà intelligent et beau du haut de ses 5 ans. Il avait déjà la langue bien pendante et surtout cette manière si douce de s’occuper des autres, de moi surtout, son bien aimé petit-frère. Un être jovial et vif ; je suis vite devenu accro à lui, délaissant ma mère qui avait toujours trop de travail, nous laissant tous les deux seuls à la maison. Du coup il s’occupait de moi, il m’a même donné le biberon plusieurs fois les premières années de ma vie. Il jouait avec moi, il me prêtait ses doudous que j’aime tant, me laisser tirer les oreilles des lapins en peluches, me parlait, me soignait quand je me blessais.

Bizarrement, mon père eut un deuxième enfant avec ma mère. Je dis bizarrement parce qu'entre leur tonne de travail et la manière dont mon père me boudait, je ne comprenais pas l'intérêt de se coltiner un deuxième môme. Je crois que c'est ma mère qui voulait le plus, en tout cas toujours est-il que Haruki vit le jour deux ans après moi. Voilà. J'avais deux ans, un grand frère et un petit frère blond que j'aimais déjà, enfin, je crois. Je ne pense pas avoir été jaloux une seule fois de lui, je l'aimais, Takeru nous aimait, et c'était bien comme ça. Mais à mes deux ans, franchement, je ne devais pas me rendre compte de grand chose.

Step Two : Perverted Children.


Quand on m'a mit à l'école pour la première fois, je n'ai pas braillé comme un demeuré, je n'ai pas morvé par tous les trous, je n'ai pas appelé ma mère en chialant. J'ai juste regardé les autres et quand j'ai vu qu'ils ne ressemblaient ni à Takeru ni à Haruki, je me suis senti profondément indifférent. J'ai snobé quasiment tous les jeunes de mon âge toute ma scolarité et je m'en porte bien.

Je ne cherchais pas à rester à l'école, parce que déjà c'est moche, les sièges sont durs, les profs bêtes et les autres pas intéressants. Bien loin du confort de la maison et de la chaleur de mes frères, je m'ennuyais terriblement, d'autant plus que l'écart d'âge nous permettait rarement de nous retrouver en dehors des heures de classe dans l'établissement qui était pourtant commun à nous trois. Nous nous retrouvions à la maison dès les cours finis, ne participant pas aux activités de l'après-midi.

Je passais donc beaucoup de temps à la maison avec mes frères, passant de longues après midi à jouer. Takeru s'occuper de nous comme un bon grand frère, toujours à l'écoute, faisant naitre en moi une admiration grandissante. Je tentais de faire de même avec Haruki, de me montrer bon et doux, ce qui je crois à bien marché puisque nous nous entendions à merveille. Cette bonne entente nous poussait à nous éloigner toujours plus des autres, nous rendant même jaloux si l'un d'entre nous parlait à un autre. Peu importe les parents, eux aussi étaient bien loin de notre petit cercle. C'était nous, nous trois et personne d'autre. Mais nos relations d’abords justes fusionnels ont bien vite évoluées de doux enfantillages à jeux pervers.

Mon grand frère Takeru est un médecin dans l’âme, et il n’a pas attendu de devenir pédiatre pour jouer au docteur avec moi. Je ne sais pas exactement quand cela à commencer, quand ces jeux sont devenus plus pervers qu’ils ne le devraient. Peut-être avais-je dix ans et lui quinze, peut-être était-ce plus jeune encore. J’adorais ça, je ne m’en plaignais pas. Je tentais de reproduire chacune de ses caresses sur Haruki. Je voulais être un grand frère aussi bon que Takeru et cela me plaisait, de me dire que moi aussi je pouvais donner, tout en recevant de l’ainé, me rassurait. Cela permettait une sorte d’équilibre.

Je rentrais à la maison à la fin des cours en sentant pointer en moi l’excitation de retrouver enfin ses deux corps qui m’appelaient. Je me laissais faire sous les mains expertes de Takeru, gémissant de bonheur avant de me tourner vers mon petit frère aux cheveux aussi blonds que les miens, le caressant à mon tour, découvrant un plaisir pervers lorsqu’il gémissait à son tour, les joues délicieusement roses.

Je sais que cette perversion qui nous a tous trois gagné vient de Takeru avant tout. C’est lui qui sait quoi faire, c’est lui le Docteur, lui qui a les mains expertes et les idées sublimes. Il menait le jeu avec brio comme il l’a toujours fait, nous entrainant à sa suite sans perdre de sa douceur. C’est grâce à lui que j’ai découvert comment aimer mes frères avec plus d’ardeur.

Step Three : the End of Childhood


Grand frère Takeru et petit frère Haruki ne pouvaient pas être comme tout le monde, je n’en ai jamais douté. J’avais huit ans quand Takeru découvrit son pouvoir et cela ne m’étonna pas. Il ne pouvait pas être comme les autres, pas comme les gens inutiles de mon école, pas comme notre père qui nous regardait toujours bizarrement. Alors je me mis à espérer, que Haruki et moi soyons exactement comme Takeru, des mutants, des non humains ; mais j’avais confiance en nous, je savais que nous étions tous les trois pareils, qu’il n’y avait qu’à patienter pour découvrir notre mutation.

Quatre ans après la découverte de celui de Takeru, mon pouvoir se déclencha enfin, alors que j’avais douze ans. Je jouais avec mes frères à un de ces jeux pervers que j’aimais tant ; depuis que Takeru parvenait plus ou moins à contrôler le corps de autres, il s’amusait beaucoup avec cela sur nous deux, ses bien aimés petits frères. J’aimais qu’il me contrôle, j’aimais qu’il joue avec moi ; mais que comment faire de même avec mon cher Haruki ? Je ne pouvais rivaliser avec le pouvoir ravageur de l’ainé et cela me déstabilisait. Moi aussi je voulais être capable de réduire à néant les efforts pour se dégager, même lors d’un jeu, du corps doux d’Haruki.

J’avais saisi une lanière de cuir pour tenter d’attacher les frêles poignets de mon petit frère, mais le bout de cuir était bien trop court et la peau complètement abimée, donnant au morceau un touché rêche et désagréable. Je voyais bien que mes vaines tentatives de ficeler Haruki lui faisait mal et soudain je m’en voulu terriblement. De tout cœur je voulais être doux avec lui, comme Takeru. Je me baissai jusqu’à ses poignets rougis, les embrassant par-dessus la lanière rêche ; lorsque je me relevais pour regarder le cuir, celui-ci avait changé d’apparence, comme réparé. Je saisi la lanière entre mes doigts, la faisant tournoyer dans mes paumes, me sentant gonfler par la confiance. Enfin, je comprenais. Après plusieurs essais je parvins à restaurer complètement le cuir, le rendant doux sur ma peau, puis j’élargis la lanière pour la rendre plus longue et plus fine. Parfait.

J’avais découvert un pouvoir mais aussi une passion, celle d’attacher les gens.

Ceci me resta et bizarrement, j’eu envie de devenir psychologue à l’hôpital d’Atahiba. J’aimais l’image du psy qui attache ses patients pour mieux les interroger. Bien sûr je ne mentionnai jamais ça lors de mes études que je finis d’ailleurs brillamment ; je rejoignis l’hôpital, comme prévu, en tant que psychologue attitré pour tous les mutants qui y passaient.

J’aime mon métier. Je peux y exercer toute ma perversion tout en apprenant plus sur les mutants, ces êtres qui sont comme mes frères et moi. Mais le meilleur dans l’histoire, c’est que Takeru et Haruki travaillent aussi à l’hôpital avec moi.
« You and your character »
Rang personnalisé : Laisse moi te montrer combien le cuir peut être doux.

Avatar : Heiwajima Shizuo - Durarara!!

Comment as-tu connu le fofo : Par un beau brun.

Règlement : quelle est la taille des avatars ?
Règlement : combien de mots dans les rp ?

Quelque chose à ajouter ? Je vous aime.

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Anonymous
Invité
Invité

Look at that baby !
MessageSujet: Re: Usami Toshiro ~ L'Orgueil du Cuir   Usami Toshiro ~ L'Orgueil du Cuir EmptyMar 21 Aoû - 11:31

Hari inside : Onii chaaaaaaaan ♥ ♥ attache moi *o*

Je te valide, je te viole et tout et tout ♥
Bon jeu et viole bien amuse-toi bien ~
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Usami Toshiro ~ L'Orgueil du Cuir

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