Nous sommes en 2012 à Atahiba, c'est une petite ville Japonaise, elle est isolée de tout, perdue entre mer, forêt et montagne, les habitants y vivent en autarcie.

Il y a presque un siècle, d'orgueilleux chercheurs y ont établie leur laboratoire et menaient des expériences sur les enfants, les animaux et même sur des femmes enceinte (manipulation génétique oblige) dans le but de créer de nouvelles espèces, plus résistantes, plus évoluées. Ils faisaient venir leur cobayes de grandes villes par convoi, des orphelins ou des prostituées enceintes qui ne manqueraient à personne. Cependant, le labo brûla en 1924, personne n'a jamais su si les expériences avaient été un succès ou un échec.

Pourtant, aujourd'hui pas mal d'habitants ont été témoins de phénomènes paranormaux, certains disent avoir vu des fantômes, d'autre avoir entendu des plaintes étranges... sans compter que certaines personnes se voient pourvu de pouvoirs hors du commun.

Pour en savoir plus, c'est ici que ça se passe.

Mars arrive, le soleil commence à pointer le bout de son nez malgré les nombreux jours de pluies qui persistent. Mais le printemps arrivant, la saison des amours se fait sentir ! Ainsi, Atahiba à la chance de voir s'ouvrir le 7th Heaven, un club homosexuel faisant office de boite de nuit, host club et d'hôtel. Cela va créer des emplois pour les jeunes hommes (gays ou non) de la ville, on recherche un barman, des hôtes, des réceptionnistes etc.

Mais ce n'est pas tout, les chercheurs de l'hôpital d'Atahiba ont trouvé un produit pour estomper les pouvoirs ! Hélas, l'effet n'est pas permanent, il dure moins d'une semaine et chez certaines personnes, le médicament boost les pouvoirs au lieu de les effacer. La prise de ce traitement doit être encadrée par l'hôpital. Sur un patient humain, il déclenche un pouvoir durant une vingtaine d'heures, ensuite l'effet disparait, mais peut très vite devenir addictif, il agit comme une drogue et ce, que ce soit sur le patient mutant ou humain.

Seulement, le traitement est sorti de l'hôpital et circule désormais en petite quantité dans la ville au même titre que les drogues normales.